[RP]Une lettre tombé du ciel

Meadow a écrit:

Les pensées de la bête tournaient dans sa tête. Au départ, c’était une journée comme une autre. Sa hache chantait, les branches tombaient et les voix parlaient. Enfin bien sur, ce n’est qu’une image.
Quand le soleil était haut dans le ciel, le bucheron s’était accordé une pause, histoire de se restaurer un peu. Il s’était installé à l’ombre, avec son sac et avait mangé un bout. Mais quand l’heure de tout remballé approcha un bout de vélin tomba de son sac. Oui de son sac à lui, qui savait pas lire trois mots de suite sans avoir une migraine.
Peut être un petit doux de sa tendre Colombe qui lui disait de ne pas rentré trop tard ce soir ? Un petit sourire s’afficha à cette pensé et le sauvage prit la peine de déplier le vélin pour le lire.

Citation :: « Ma sucrée femme,
J’ai beau regarder je ne te vois pas. Je t’écris dans cette langue indigne que tu m’as apprise pour que ta famille ne puisse comprendre si cette lettre venait à tomber en de mauvaise main. Cela ne suffira peu être pas, mais ne sait on jamais.
Je ne sais où je suis, je suis en une contré que je ne connais point et mon envie de te revoir se fait grande. Depuis combien de temps es-tu disparut ? Le temps ne fait que passer et je ne sais si tu reviendras à moi. Pendant combien de temps m’en voudra tu ? Me pardonnera u un jour ou c’est seulement lorsque que je baisserai tes morts pieds que tu daigneras poser tes vertes perles sur moi ?
J’ai un jour, perdu ton fils. Je ne sais ce qu’il deviens, je ne sais si il vit. Quelques fois, d’étranges choses se produisent, mais ma mémoire faiblit. Je profite de ses quelques instant de lucidité pour t’écrit, oh ma blanche hase.

Je ne sais si ce courageux pigeon te trouvera, où que tu sois mais si tu lis ses mots, sache que la noir colère qui m’abrite s’est dissipé à ton égard. Seul mon amour perdure, je sais que c’est très dur, mais je garde espoir pour le futur.
Ton grand amour. »

Quelle idée avait eu l’animal de l’ouvrir pour voir ce que c’était … Ses perles noires avaient parcourut la lettre avec un signe d’avant tempête. Oh bien sur il n’avait pas tout compris en détail, mais il avait comprit le principale. Du moins, il le croyait.

La rage montant dans son cœur, il lui prit plus de temps à replier la lettre sans l’arracher sous l’effet de la colère qu’à ranger ses affaires et à charge Blood de son bois fraichement coupé !

Aucun doute, cette lettre était adressé à une femme, dont le nom n’étai pas préciser certes mais ça parler à une donzelle ! Et vu la tête qu’il avait, on pouvait aisément comprendre qu’il n’appréciait pas qu’on envoie de tel chose à SA femelle. C’était la seule explication quelqu’un faisait la cour à Olympe dans son dos et cette lettre était atterrit dans son sac à lui, et non à elle, par accident.

Quoi d’autre après tout ? Rien n’aurait pu être plus limpide que ça ! Tirant sa jument d’un geste rageur, il avança du plus vite que sa jambe boiteuse lui permettait. Elle allait lui payer ! Au centuple même ! Il voulait bien l’autoriser à avoir une autre expérience que lui mais elle aurait pu lui demander avant !
C’est après plusieurs longues minutes de marche, essoufflé, rouge de colère et les mains tremblantes de rage que Meadow s’arrêta devant l’auberge, près de la sortie de la ville. Elle était surement encore là, elle bouger presque pas en son absence. Inspirant profondément le bucheron ne put garder plus longtemps la fureur qui l’emplissait au fur et à mesure que de nouvelles pensées de trahison hantaient son esprit.

-OLYMPE ! FILLE DE CATIN ! DESCEND ICI TOUT DE SUITE !